Savoir distinguer la qualité d’une lumière, dure ou douce, et la faire varier en fonction du besoin créatif, est le meilleur chemin vers une photo réussie. Tour d’horizon.
Instinctivement, nous savons distinguer une lumière dure d’une lumière douce. Nous avons tous fait l’expérience de la lumière de midi en juillet en plein soleil (lumière dure) et de celle d’un jour brumeux en montagne (lumière douce). Pourtant, si nous en connaissons le résultat, il est nécessaire de préciser certaines notions pour pouvoir la gérer.
Pour éclairer notre sujet, nous jouerons donc consciemment sur les quatre tableaux. Le choix d’un modeleur, la distance avec le sujet, le choix d’une lumière directe ou indirecte ou l’installation d’un tissu diffuseur, seront directement liés à la lumière que nous voulons sculpter sur le modèle.
Comme on va le voir dans la formation complète, rien ne sera placé au hasard ou pire, parce que c’est l’habitude d’agir ainsi.